Bâti Contrôles Environnement revient sur l’importance fondamentale d’une coordination parfaite entre leur métier et ceux de maître d’œuvre et d’assistance à maîtrise d’œuvre. Explications.

Etat des lieux pour un devis sans surprise

Toute rénovation énergétique commence par un état des lieux sur place, pour définir précisément la mission, et notamment sa complexité, en fonction des défauts et contraintes du bâtiment. Cette visite peut révéler de simples pathologies ou de mauvais entretiens, mais aussi des travaux importants à réaliser, en urgence ou en prévention.
Elle offre d’établir un devis sans surprise, notamment par la collecte d’informations essentielles auprès du client comme les points de vigilance à observer : litiges en cours, degrés des problèmes déclarés dans la copropriété. Information que ne possède pas toujours le syndic de copropriété.
Rien de tel que de monter sur le toit pour vérifier la présence ou non de végétation et de constater visuellement les éventuels désordres.

Des objectifs différents selon la typologie de copropriétaires

Dans la rénovation énergétique, les attentes des copropriétaires varient selon leurs moyens financiers, leurs âges et leur volonté de faire évoluer leur patrimoine. Les objectifs sont d’ailleurs relativement opposés en cas de mélange de générations. Il est important de comprendre ces différents points de vue et de trouver si possible une perspective commune.
Bâti Contrôles Environnement définit alors le protocole des travaux à travers un cahier des charges et chiffre leur montant en fonction des prestations attendues. Chaque corps de métier pourra alors engager sa mission à partir de solutions techniques, concrètes et pragmatiques données par la maîtrise d’œuvre.
Reste, avant de présenter les travaux au vote de l’assemblée générale des copropriétaires, la recherche de subventions, pour limiter leur participation financière, réalisée par l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage.

Vision pragmatique et recherche de financement

« Nous avons choisi, pour offrir une prestation cohérente et efficace à nos clients d’intégrer les deux autres métiers – maîtrise d’œuvre, assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) – à notre prestation.
Le maître d’œuvre possède la vision pragmatique de l’organisation d’un chantier et des résultats que l’on peut atteindre, tandis que l’AMO va faciliter le financement, et donc l’exécution du chantier. Cela nous permet de générer un plan pluriannuel de travaux plus pertinent que la concurrence, plus facile à mettre en œuvre.
Des architectes peuvent aussi nous accompagner en cas de besoin, comme par exemple pour une structure complexe où il faut reprendre les fondations.
Bien connaître nos savoir-faire mutuels permet de produire notre prestation de façon plus efficace et au meilleur prix pour le client », conclut Xavier Jacquin, associé Bâti Contrôles Environnement.